J’ai toujours été passionnée par les questions de santé et le rôle joué notamment par l’alimentation dans l’apparition et la rémission de certains troubles.
Mon parcours professionnel m’a toutefois amenée à explorer d’abord de tout autres domaines. Après une prépa HEC et des études à l’ESC Rouen, j’ai démarré ma carrière au cabinet d’audit Deloitte, avant de me tourner vers le journalisme financier et économique, un métier que j’ai exercé avec beaucoup d’enthousiasme, au quotidien « Les Echos » notamment. J’ai ensuite rejoint Keolis, une entreprise internationale de transport public, pour y devenir directrice de la communication, puis la SNCF pour y occuper les fonctions de directrice de la communication et des relations publiques de Transilien (les trains et RER d’Ile-de-France). Etre au cœur de la vie des gens via les problématiques de transports quotidiens, en relation avec les politiques responsables de l’organisation des transports dans leurs villes, départements ou régions, tout cela au sein d’une grande entreprise publique a été une expérience professionnelle extrêmement enrichissante.
Pour autant, à l’approche de la cinquantaine, l’envie d’explorer ma passion de toujours est revenue. Le métier de naturopathe s’est imposé immédiatement. Plusieurs années auparavant, ce sont les conseils d’un naturopathe qui m’avaient permis de venir à bout de problèmes digestifs que je trainais depuis des années, et qu’aucun médecin, généraliste ou gastro-entérologue, n’était jusque-là parvenu à régler.
Et c’est encore grâce à la naturopathie qu’un de mes proches est parvenu, année après année, à réguler son terrain de grand allergique.
Pour mener mon projet à bien, j’ai décidé de suivre une formation solide, dans une des meilleures écoles de naturopathie, Isupnat, dont l’enseignement combine l’apprentissage de la philosophie, des principes et des techniques de la naturopathie avec des cours approfondis en anatomie, physiologie, pathologie.